Une lubie qui n'en est plus une
Rappelez-vous ma dernière lubie... Et bien aujourd'hui , lundi 27 août 2007 à 13:49, je peux vous dire que ça n'est plus une lubie mais bien une véritable activité. Les conditions sont remplies :
Samedi dernier, ma soeur et moi-même sommes allées acheter des baskets, accompagnées et soutenues par Jeanfi (qui, au passage, déteste le shopping). Nous voilà à la caisse d'une grande enseigne bleue et blanche, qui reprend le nom d'une discipline olympique, armées de deux paires de chaussures de sport, deux t-shirts, un sac à dos, 6 paires de chaussettes et une "boule-sac" servant aux emplettes du marché que nous ne faisons jamais (bah oui, à 1.5 euro on n'allait pas se priver de ce gadget violet). Une carte bleue et une centaine d'euros en moins plus tard, nous avions déjà prévu le planning de courses de la semaine.
Et oui, nous nous mettons à la course à pieds. Dimanche matin, après le petit déjeuner, nous voilà parties pour le parc de Vincennes... J'ai déjà mal aux jambes. Les joggeurs nous passent, iPods et chronomètres attachés aux bras, casquette enfoncée sur le front et baskets attestant de la régularité de leurs courses dans les bois. Pfff va falloir courir sous la pluie pour faire plus "vrai", nos chaussures sont trop neuves !
Et un, et deux et on respire, on détend les épaules, on fait le singe... J'y arrive pas, j'ai les épaules (les deux même) toutes contractées.
David, j'y suis arrivée, je cours ! Il faut juste que ça tienne dans la durée, et c'est pas gagné. Enfin, cette semaine il fait beau, ça devrait jouer en ma faveur.
A suivre...
- acheter des nouvelles chaussures
- trouver un créneau pour y aller
- le beau temps
- ma soeur a remplacé Sophie
Samedi dernier, ma soeur et moi-même sommes allées acheter des baskets, accompagnées et soutenues par Jeanfi (qui, au passage, déteste le shopping). Nous voilà à la caisse d'une grande enseigne bleue et blanche, qui reprend le nom d'une discipline olympique, armées de deux paires de chaussures de sport, deux t-shirts, un sac à dos, 6 paires de chaussettes et une "boule-sac" servant aux emplettes du marché que nous ne faisons jamais (bah oui, à 1.5 euro on n'allait pas se priver de ce gadget violet). Une carte bleue et une centaine d'euros en moins plus tard, nous avions déjà prévu le planning de courses de la semaine.
Et oui, nous nous mettons à la course à pieds. Dimanche matin, après le petit déjeuner, nous voilà parties pour le parc de Vincennes... J'ai déjà mal aux jambes. Les joggeurs nous passent, iPods et chronomètres attachés aux bras, casquette enfoncée sur le front et baskets attestant de la régularité de leurs courses dans les bois. Pfff va falloir courir sous la pluie pour faire plus "vrai", nos chaussures sont trop neuves !
Et un, et deux et on respire, on détend les épaules, on fait le singe... J'y arrive pas, j'ai les épaules (les deux même) toutes contractées.
- Gwen,On marche, on court, et re, et re. Au bout d'une heure, on a fait au moins 15 minutes de courses... On rentre à la maison en marchant, on s'étire (pas assez, j'ai encore mal), on prend une bonne douche. Que du bonheur, le moral est là, on a bonne conscience, le sport c'est la santé !je fais pas le singe, c'est trop ridiculej'arrive pas à faire le singe.
David, j'y suis arrivée, je cours ! Il faut juste que ça tienne dans la durée, et c'est pas gagné. Enfin, cette semaine il fait beau, ça devrait jouer en ma faveur.
A suivre...